Un hôtel sur le thème de la poésie
Présentation
Informations pratiques
L’écriture inspire aussi l’hôtellerie parisienne.
Quel est le point commun entre le Murano, Le Five, Le One, figures emblématiques de l’hôtellerie contemporaine à Paris, et l’Apostrophe Hôtel ?
Toutes sont nées de la collaboration de l’architecte Vincent Bastié et de Sandrine Alouf, décoratrice d’intérieur et atmosphériste revendiquée.
Ici, la poésie s’invite bien avant de franchir le seuil. Dans cette rue paisible à deux pas de la Closerie des Lilas, un arbre stylisé projette son ombre en trompe-l’œil sur la façade, comme un prélude à l’imaginaire. De la réception aux étages, les murs s’animent de lettres, de ponctuations et de fragments graphiques qui accompagnent les voyageurs dans un récit sensible et multiple.
Les grandes étapes de l’écriture se déploient en filigrane à travers les cinq niveaux de l’hôtel. Chaque chambre, au nombre de seize, explore un univers singulier : alphabet amoureux, typographie, imprimerie, journaux, partitions… Autant de variations poétiques pensées comme des escales dans l’histoire des mots. Les clins d’œil visuels dialoguent avec les volumes, et l’on se laisse porter par le décor, tantôt onirique, tantôt narratif.
Certaines chambres vont plus loin dans l’immersion sensorielle : baignoires à remous, chromothérapie, plafonds thématiques… Une échelle grimpe vers le ciel, un ciel d’orage suspend son mouvement, une verrière laisse passer une lumière douce. Ces mises en scène discrètes donnent à l’intimité un supplément d’âme.
L’expérience se prolonge jusque dans les petits détails du quotidien. Le petit-déjeuner peut être servi en chambre, sans supplément, jusqu’à midi. Le Wi-Fi est fluide, le confort constant, le service attentionné. On retrouve dans chaque chambre un Chromecast, un lit à mémoire de forme, une climatisation réglable et une insonorisation appréciée.
À la croisée de Montparnasse et du jardin du Luxembourg, l’Apostrophe Hôtel trace une ligne claire entre l’inspiration et le confort, le voyage intérieur et la découverte urbaine. Une adresse discrète, littéraire, et très actuelle.
Quel est le point commun entre le Murano, Le Five, Le One, figures emblématiques de l’hôtellerie contemporaine à Paris, et l’Apostrophe Hôtel ?
Toutes sont nées de la collaboration de l’architecte Vincent Bastié et de Sandrine Alouf, décoratrice d’intérieur et atmosphériste revendiquée.
Ici, la poésie s’invite bien avant de franchir le seuil. Dans cette rue paisible à deux pas de la Closerie des Lilas, un arbre stylisé projette son ombre en trompe-l’œil sur la façade, comme un prélude à l’imaginaire. De la réception aux étages, les murs s’animent de lettres, de ponctuations et de fragments graphiques qui accompagnent les voyageurs dans un récit sensible et multiple.
Les grandes étapes de l’écriture se déploient en filigrane à travers les cinq niveaux de l’hôtel. Chaque chambre, au nombre de seize, explore un univers singulier : alphabet amoureux, typographie, imprimerie, journaux, partitions… Autant de variations poétiques pensées comme des escales dans l’histoire des mots. Les clins d’œil visuels dialoguent avec les volumes, et l’on se laisse porter par le décor, tantôt onirique, tantôt narratif.
Certaines chambres vont plus loin dans l’immersion sensorielle : baignoires à remous, chromothérapie, plafonds thématiques… Une échelle grimpe vers le ciel, un ciel d’orage suspend son mouvement, une verrière laisse passer une lumière douce. Ces mises en scène discrètes donnent à l’intimité un supplément d’âme.
L’expérience se prolonge jusque dans les petits détails du quotidien. Le petit-déjeuner peut être servi en chambre, sans supplément, jusqu’à midi. Le Wi-Fi est fluide, le confort constant, le service attentionné. On retrouve dans chaque chambre un Chromecast, un lit à mémoire de forme, une climatisation réglable et une insonorisation appréciée.
À la croisée de Montparnasse et du jardin du Luxembourg, l’Apostrophe Hôtel trace une ligne claire entre l’inspiration et le confort, le voyage intérieur et la découverte urbaine. Une adresse discrète, littéraire, et très actuelle.
Apostrophe Hotel
3, rue de Chevreuse
75006 Paris, France
Tel : +33 (0)1 56 54 31 31
A partir de 175 EUR3, rue de Chevreuse
75006 Paris, France
Tel : +33 (0)1 56 54 31 31
Détails des tarifs
Tarifs 2026, à partir de 175€ la nuit pour deux personnes. L'Apostrophe vous propose 16 chambres réparties en trois catégories.
Chambres équipées de produits d’accueil Keiji, peignoirs, sèche cheveux, télévision satellite écran plat, lecteur DVD, CD, iPod et MP3.
✦ Chambre double Standard (14m2) avec douche à jets hydro-massage et douche pluie éclairée, à partir de 175€ la nuit
✦ Chambre double Supérieure (14m2) avec salle de bain décloisonnée et sa puissante douche à jets hydro-massage, une table créée pour l'Apostrophe permet de prendre son petit-déjeuner confortablement au lit, à partir de 185€ la nuit
✦ Chambre double 'balnéo' (15m2) avec nouvelles baignoires à double tête (décembre 2019), avec jacuzzi et chromothérapie à la carte, à partir de 195€ la nuit.
Hôtel climatisé, connexion wi-fi gratuite, petit-déjeuner à la carte servi jusqu’à midi et en chambre sans supplément.
Nota Bene : Tous les tarifs sont donnés à titre purement indicatif et sont à confirmer directement auprès de l'établissement.
Commentaires
A 450m du Jardin du Luxembourg et de ses chaises ou fauteuils si prisés pour bouquiner.Stations de métro Vavin ou Raspail (ligne 4), Notre Dame des Champs (ligne 6) et station RER Port-Royal.
